Adi Steurbaut met son talent de peintre au service de la joie de vivre. Son propos n'est pas de révolutionner l'art de la peinture. Il préfère une approche multiple et morcelée en fragments de puzzle.

Ses œuvres se présentent donc comme de petits panoramas kaléidoscopiques qui invitent le regard à se promener dans toutes les directions de la rose des vents. Ses tableaux ont d'ailleurs la fraîcheur d'une chanson de Trenet, la fantaisie des compositions d'Eric Satie, le rythme syncopé des poèmes du poète flamand méconnu Paul Van Ostaijen.